samedi 7 mars 2009

Truc inutile Number srwui.

Faire la différence entre un chmoll Mulon-Frit et un Ploom Frazaza.

C’est vraiment inutile dans le sens que 99 % de la population sait faire la différence, mais il reste quand même 1% qui n’a pas la moindre idée de comment faire la différence. Pire encore, il parait qu’il y a des gens qui ne savent même pas ce que c’est qu’un Chmoll ou un Ploom.

Pour ces derniers, dans ma grande bonté, je veux bien expliquer les spécificités, avec des rimes en –é, de chaque espèce… é.
Bien entendu, pour vous qui savez probablement ce qu’est un Chmoll ou ce qu’est un Ploom -sinon c’est vraiment la honte sur vous- vous pouvez ne pas lire cet article.

Qu’est ce qu’un Chmoll ? C’est un peu comme un Trufiloulu Faribond, mais en beaucoup plus gros. Ils vivent seuls mais en communauté, divisée généralement en 3 catégories : Les Chmolls A, les Chmolls A, et les Chmolls A. En fait, on distingue ces A dans leur prononciation. Le premier A se prononce -A-. Quant au deuxième, un peu plus caverneux, il se prononce -A-. Le troisième est un peu plus particulier, puisque il est guttural et se prononce logiquement -A-. Ces catégories de Chmolls les distinguent au sein de leur société, les -A- étant ouvriers, les -A-plongeurs et les -A- laveurs de pastèques.

Autre point important. Les Chmolls détestent les mathématiques et ne tolèrent que le chiffre 2. A cet égard, on peut dire que les Plooms sont plus tolérants, puisqu’ils acceptent le nombre 11.66, en plus du chiffre 2, et la racine carré de 25.68795. Là où les Ploom sont intolérants, c’est bien comme vous le savez tous sur les pluriels. En effet, on ne met jamais de « s » à « les Ploom » sauf quand la phrase contient un chiffre, un nombre, une décimale, ou bien le terme « Scraboudou Farringer », mais attention, s’il y a un nombre et un Scraboudou farringer dans la même phrase, le « s » du pluriel est annulé et n’a le droit de réapparaitre que dans la 5ème prochaine phrase contenant le mot boulibilouna. Mais ceci, vous le saviez déjà. De plus, Ploom est à la fois nom, adjectif, déterminant et couteau à beurre, les Ploom étant un peu mégalomaniaques.

Néanmoins, une différence majeure entre ces deux espèces est leur couleur de peau. En effet, si les Chmolls Mulon-Frit sont de couleur vert pâle, les Ploom le sont aussi, mais avec une légère tendance à blanchir lors du solstice d’été. Si avec ça vous ne faites pas de différence… Niveau taille, les Ploom sont légèrement plus petits que les Chmolls, mais juste avant le trufiloulu faribond. Des spécialistes les rapprochent parfois des Gibolins du Carimou, mais cette affirmation fait polémique au sein même de la société Ploom, qui n’aime pas les Gibolins (on les comprend me direz-vous). Ploom et Chmolls peuvent cohabiter ensemble, à condition que chacun possède un stylo bic, ce qui est bien normal. D’ailleurs, des historiens font remonter la naissance de ces deux espèces à la même période, c'est-à-dire au 5ème siécle avant JC (Jariploom Chmolldu, leur dieu ancien commun avant la guerre des Tournevis, qui a séparé les populations en deux, selon l’historien dont on ne sait jamais le nom). Après maintes guerres internes, externes, mais aussi demi-pensionnaires, comme contre les Gibolins et les canapés, les deux espèces auraient immigré un peu partout sur le globe, cohabitant avec paix, sauf bien sur quand elles se battent.

En attendant, vous savez maintenant définitivement faire la différence entre ces deux espèces, et je suis sûr que si vous voyez un Chmoll ou un Ploom, et bien l’hôpital psychiatrique n’est pas lo… euh pardon, je suis sûr que vous ne vous tromperez pas.