lundi 22 juin 2009

Turc iultline Nuermo qtaure.

Écrire un scénario d'un film pornographique.

Sally, jeune secrétaire blonde au QI de moule et ayant un tour de poitrine fort généreux (95 f), vient d'intégrer la société Machin and Co. Alors qu'elle passe devant son patron, elle fait tomber malencontreusement le photocopieur sur le sol. En se penchant pour le ramasser, elle dévoile une paire de fesses qui, selon son boss, mériterait une bonne augmentation. D'ailleurs, Monsieur François Pine-Gnion et originaire d'Afrique du Sud et possède un sexe de 40 cm (au repos), sur lequel il a tatoué le nom de ses cinq femmes et soixante-quinze gosses. C'est alors que Lydia, brune au gros...

Mais mais mais... C'est diablement ennuyeux, vous ne trouvez pas? Ne parlons pas de dialogues...
"OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO,
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA, OUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU, *changement de position*, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaAAAAAAAAAAAAAAAAA...."

Non, no, Nadal, Nine... Il faut, écrire un scénario original, pour une fois. Et d'ailleurs, puisque je suis là, je vais le faire sous vos yeux ébaubis .

Cela s'intitule... huuuuuuuuuuuuum...

BITMAN ET ROPINE.

Déjà, il faut un peu de baston, donc il faut des méchants. Le Joqueue, le Pinegouine, l'épouvanteub... Mais il faut aussi plein de filles (parce qu'après, c'est plus du porno, c'est un blockbuster débile), comme Toison Heavy, Catwoman (pas besoin de jeu de mots, elle fera la scène SM avec Bitman). Ensuite, le casting :

Bitman : Val Kilmeuf (ou christian Boule).

Ropine : Leonardo Dick-à-prix-haut.

Le Joqueue : Jerk Nique-Oslon.

Toison Heavy : Uma Durman.

Catwoman : Halle Biroute (ou Maïté si on fait du trash).

Voilà, on a les acteurs, maintenant, il faut l'histoire.

Alors c'est Bitman et Ropine qui doivent sauver le monde, en faisant l'amour à plein de filles, dans le plus de positions possible, mais attention, pas de scène gay, parce que le film doit être très sombre et triste, parce que, à la fin, Ropine meurt en sauvant Bitman, qui allait se faire ***************** puis *************** et enfin *** par Toison Heavy. Ce que l'on ne sait pas, c'est que Bitman collectionne les barbites et qu'il est amoureux du Joqueue, son Némésuce juré.

Ceci est un appel, proposez-moi plusieurs fins alternatives (mais Ropine meurt quand même, c'est pour le côté tragique du film).

Sinon, veuillez me pardonner d'être tombé dans la vulgarité.

Et n'oubliez jamais : Pierre qui roule ne fait pas l'habit du moine.

samedi 7 mars 2009

Truc inutile Number srwui.

Faire la différence entre un chmoll Mulon-Frit et un Ploom Frazaza.

C’est vraiment inutile dans le sens que 99 % de la population sait faire la différence, mais il reste quand même 1% qui n’a pas la moindre idée de comment faire la différence. Pire encore, il parait qu’il y a des gens qui ne savent même pas ce que c’est qu’un Chmoll ou un Ploom.

Pour ces derniers, dans ma grande bonté, je veux bien expliquer les spécificités, avec des rimes en –é, de chaque espèce… é.
Bien entendu, pour vous qui savez probablement ce qu’est un Chmoll ou ce qu’est un Ploom -sinon c’est vraiment la honte sur vous- vous pouvez ne pas lire cet article.

Qu’est ce qu’un Chmoll ? C’est un peu comme un Trufiloulu Faribond, mais en beaucoup plus gros. Ils vivent seuls mais en communauté, divisée généralement en 3 catégories : Les Chmolls A, les Chmolls A, et les Chmolls A. En fait, on distingue ces A dans leur prononciation. Le premier A se prononce -A-. Quant au deuxième, un peu plus caverneux, il se prononce -A-. Le troisième est un peu plus particulier, puisque il est guttural et se prononce logiquement -A-. Ces catégories de Chmolls les distinguent au sein de leur société, les -A- étant ouvriers, les -A-plongeurs et les -A- laveurs de pastèques.

Autre point important. Les Chmolls détestent les mathématiques et ne tolèrent que le chiffre 2. A cet égard, on peut dire que les Plooms sont plus tolérants, puisqu’ils acceptent le nombre 11.66, en plus du chiffre 2, et la racine carré de 25.68795. Là où les Ploom sont intolérants, c’est bien comme vous le savez tous sur les pluriels. En effet, on ne met jamais de « s » à « les Ploom » sauf quand la phrase contient un chiffre, un nombre, une décimale, ou bien le terme « Scraboudou Farringer », mais attention, s’il y a un nombre et un Scraboudou farringer dans la même phrase, le « s » du pluriel est annulé et n’a le droit de réapparaitre que dans la 5ème prochaine phrase contenant le mot boulibilouna. Mais ceci, vous le saviez déjà. De plus, Ploom est à la fois nom, adjectif, déterminant et couteau à beurre, les Ploom étant un peu mégalomaniaques.

Néanmoins, une différence majeure entre ces deux espèces est leur couleur de peau. En effet, si les Chmolls Mulon-Frit sont de couleur vert pâle, les Ploom le sont aussi, mais avec une légère tendance à blanchir lors du solstice d’été. Si avec ça vous ne faites pas de différence… Niveau taille, les Ploom sont légèrement plus petits que les Chmolls, mais juste avant le trufiloulu faribond. Des spécialistes les rapprochent parfois des Gibolins du Carimou, mais cette affirmation fait polémique au sein même de la société Ploom, qui n’aime pas les Gibolins (on les comprend me direz-vous). Ploom et Chmolls peuvent cohabiter ensemble, à condition que chacun possède un stylo bic, ce qui est bien normal. D’ailleurs, des historiens font remonter la naissance de ces deux espèces à la même période, c'est-à-dire au 5ème siécle avant JC (Jariploom Chmolldu, leur dieu ancien commun avant la guerre des Tournevis, qui a séparé les populations en deux, selon l’historien dont on ne sait jamais le nom). Après maintes guerres internes, externes, mais aussi demi-pensionnaires, comme contre les Gibolins et les canapés, les deux espèces auraient immigré un peu partout sur le globe, cohabitant avec paix, sauf bien sur quand elles se battent.

En attendant, vous savez maintenant définitivement faire la différence entre ces deux espèces, et je suis sûr que si vous voyez un Chmoll ou un Ploom, et bien l’hôpital psychiatrique n’est pas lo… euh pardon, je suis sûr que vous ne vous tromperez pas.

lundi 26 janvier 2009

Bla bla bla

Aujourd'hui, en guise de truc inutile à apprendre, nous allons voir comment meubler une conversation. Vous savez, au resto, à un repas de famille, avec une fille et j'en passe, des gros blancs (et je ne suis pas raciste) s'installent et très peu de gens savent les apprécier à leur juste valeur. Pour plus d'information re-re-re-re-re-re-re-re-re-revoir PULP FICTION, la scène dans le resto avec Uma Thurman et John Travolta, où elle balance une très belle phrase mais je m'en rappelle plus, c'est dommage.
Bref, revenons à nos gros blancs.
Pour meubler une conversation, c'est facile, il existe plusieurs options qui se présentent à vous :
1) La meubler littéralement: "ça va ? bien et toi ? ouais... (GROS BLANC) euh... table, chaise, armoire, plafond, lit... Bah qu'est ce que tu racontes ? Rien je meuble la conversation... ah non, un plafond, c'est pas un meuble ! Ah bon ?? et oui parce que patatipatatapapotepapote... grand mère.... patatipatata... alligator papotepapote... cheval de course... poutoutoupoutoutou... racine carrée de bisounours... Ah d'accord, je comprends mieux ton point de vue... mais tu vois...
Et voilà une conversation bien lancée !!!

2) Parler du temps qu'il fait. N'avez vous jamais remarqué que les grandes personnes parlent météo quand elles n'ont rien à dire ??? C'est inutile (donc utilisez le !!!), mais ça rajoute 5 secondes de repos pour éviter un blanc. Après, peut être que vous devrez reconsidérer l'option 1. Sauf si vous êtes un connaisseur et que vous voulez vous la péter en parlant de nimbus, de cumulonimbus, de cunnilingus et de gus gus... Mais, honnêtement, tout le monde s'en fout.

3) La troisième option est la plus risquée, mais au moins vous aurez de l'ambiance ! Choisir des "questions ou phrases à risque". Mais faites bien attention à adapter le TDR* à la situation. Pour vous aider, voici les niveaux de risques :
- risque 1 (faible, votre auditeur (toire) polémiquera très peu) : "je trouve cela scandaleux que les pingouins n'aient pas de parti politique les représentant, et toi?"
- risque 2 (moyen, commencer à faire gaffe à ses fesses) : "je trouve que le rap français est comme les cailloux... Il y en a partout et ça sert à rien."
- risque 3 (... vous êtes déjà mort) : "personnellement, je soutiens Israël".

Bref, combinez ces trois options et vous aurez peut-être une chance de passer un bon moment si bien sur vous n'êtes pas dans une famille palestinienne fan de rap français détestant les pingouins et n'écoutant pas la météo... Non dans ce cas là, c'est que vous êtes dans un film. Ou alors vous êtes mort. Au choix. Bon appétit.

*Type De Risque

mercredi 21 janvier 2009

Here we go...

N’avez-vous jamais rêvé, cher lecteur, chère lectrice et autre personne d’un autre sexe, d’apprendre les choses les plus vitales de la vie, les choses qui donneraient un sens à votre existence, qui vous plongeraient dans une profonde joie à chaque moment où vous les feriez ? Bref, n’avez-vous jamais voulu apprendre des choses parfaitement inutiles ? Si ce n’est pas le cas, vous perdez votre temps. Restez donc terre à terre pour le restant de vos jours. Si en revanche vous le voulez, lisez ces pages, vous y trouverez peut-être votre bonheur. La seule richesse que vous trouverez ici, c’est celle de l’apprentissage de l’inutile, qui pour moi est le plus jouissif qui soit. J’adore faire des trucs qui ne servent à rien (mais vraiment à rien), comme dessiner avec mes pieds, faire des tours de magie, jouer au basket-corbeille avec des cartes ou des balles de jonglage… Enfin, j’espère que vous vous amuserez à essayer ces exercices inutiles, sinon… bah tant pis.

Exercice Inutile n#1 : lire un livre à l'envers

En fait, ce n’est pas si dur que ça. Ce n’est même pas dur du tout. Il faut en revanche respecter quelques étapes avant de se lancer dans l’apprentissage de la lecture à l’envers. Déjà, il vous faut un livre. Les plus courageux choisiront un Balzac en édition la Pléiade, les moins hardis un Oui-Oui à l’école ou Martine fait caca. Avoir un livre, c’est la base. Ensuite, je vous laisse le choix d’aborder les étapes suivantes dans l’ordre que vous voudrez :

1) 1) Ouvrir le livre.

2) 2) Le retourner.

Il n’est donc pour l’instant pas utile de se mettre dans des positions de contorsionniste pour lire les lettres dans le mauvais sens. Être assis sur un fauteuil est amplement suffisant.

Ne vous croyez pas au bout de vos peines, c’est maintenant que cette activité ludique se corse. Il faudra à votre cerveau quelques secondes de plus pour déchiffrer une lettre à l’envers, mais à force de patience, je suis sur que vous y arriverez. Lisez d’abord une phrase à l’endroit (n’oubliez donc pas de remettre le livre dans le bon sens), puis lisez-la à nouveau, mais à l’envers. Pour rendre la chose encore plus difficile, prenez une bouteille d’eau minérale, videz-la, et remplissez-la à nouveau de Jack Daniels. Remarquez, après quelques gorgées, ce n’est pas non plus évident de lire dans le bon sens, surtout si vous avez choisi du Proust.

Ce truc n’est pas si inutile que ça en fait, puisque imaginez que pour sauver le monde, des martiens cruels et sans pitié vous demandent de lire trois pages du temps retrouvé à l’envers, ils seront bien surpris et devront abdiquer face à votre supériorité (n’hésitez pas à lire même 5 pages pour les enfoncer encore plus). Comme quoi la littérature peut vraiment sauver le monde…